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La pandémie de covid-19, qui n’épargne aucun pays, va considérablement ébranler les établissements scolaires français à l’étranger, dans une mesure qu’il est difficile d’appréhender pour l’instant.
Il semble que le gouvernement, alerté par les élus des Français de l’étranger, ait désormais conscience du problème.
Pourtant, une catégorie d’élèves ne doit pas être négligée : celle des élèves des établissements privés comme publics, et ceux suivants les cours du CNED, qui passent le baccalauréat en candidat libre.
Ils sont près de 863 en Algérie, contre environ 185 élèves scolarisés dans les établissements du réseau de l’AEFE.
Or, il semble décidé que le bac serait obtenu sur contrôle continu, y compris à l’étranger.
Dans cette hypothèse, qu’adviendra-t-il des candidats libres (bac, épreuves anticipées de français que doivent passer 1100 élèves, ainsi que les 796 collégiens pour le brevet CNED compris)?
Il serait question de leur faire passer les épreuves du bac en septembre, ce qui non seulement constituerait une rupture d’égalité avec les autres candidats à cet examen national, mais encore remettrait en cause leur inscription dans le supérieur.
Est-il envisageable de prendre en compte le contrôle continu également pour les candidats libres de ces établissements privés et publics, ainsi que les 145 lycéens qui suivent les cours du CNED ?
Quel sort sera réservé aux candidats devant passer le brevet et les épreuves anticipées?
Le Secrétariat général de l’Assemblée des Français de l’étranger s’efforce de diffuser des informations exactes et tenues à jour.
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