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De nombreux actes concernant les Français d’Algérie ou d’autre pays anciennement sous souveraineté française ont été perdus ou détruits. La loi 68-671du 25 juillet 1968 a autorisé le Service Central d’Etat-civil à restituer ou à créer ces actes, sans passer par des jugements supplétifs ou déclaratifs du Tribunal de Grande Instance de Paris. Dans la pratique, les demandeurs se voient opposer une fin de non-recevoir. Dans les cas précis où le Service Central d’Etat-civil a connaissance de la véracité de la perte ou de la destruction des pièces justificatives qu’il réclame lui-même, ne serait-il pas judicieux que ce Service applique aux intéressés une « présomption de naissance » et établisse un document qui constituerait l’un des éléments de nature à établir la nationalité française du demandeur ?
Origine de la réponse : FAE/SAEJ/CEJ
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