Lors des réunions du conseil consulaire en formation « Action sociale », nous évoquons les cas très douloureux auxquels peuvent être confrontés les agents du consulat mais parfois également les conseillers consulaires. La question du soutien psychologique des bénévoles est un vrai sujet. C’est également vrai pour les agents consulaires confrontés à des situations extrêmes. Dans ces cas, le consulat peut prendre contact avec les psychologues du ministère de l’Europe et des affaires étrangères pour aider les agents. Par contre, il n’y a rien pour les conseillers consulaires qui, certes, transmettent les cas lourds au consulat, mais qui peuvent être confrontés de façon totalement imprévisible, sans préparation à de tels cas.
Un échange avec un psychologue pourrait-il être organisé dans les postes ? Cela pourrait concerner les conseillers consulaires, les bénévoles des associations, mais également le personnel du consulat général sur le thème : « Voici ce qu’il faut faire et ne pas faire dans un cas X. »
Le département est sensible à la demande qui peut, en effet, s’avérer légitime dans certains cas. Aussi recommandera t-il aux postes de proposer sur place, aux conseillers consulaires et /ou aux bénévoles qui en formuleraient la demande, un accompagnement et/ou une séance de soutien avec le recours aux services d’un professionnel implanté dans le pays et adapté à ses spécificités culturelles, sociales voire linguistiques.
Origine de la réponse : DFAE
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